Une 43ème chronique des croisières sous le signe du Cantique des cantiques avec Mélina, érotisme, philosophie, théologie, poésie, histoire, à vous de choisir… Mamadi est de la partie, il a des choses à dire : son père, la reine de Saba etc… Marie continue sa traversée de la Recherche du temps perdu dans les méandres de la mémoire, Rachel a écrit un texte : Intermède en gros mots. Laurent retrouve de la voix pour nous conter la complainte du Marcheur funèbre. Nourdine est là aussi avec le Bonheur. De la musique encore et une machine à écrire pour nous accompagner.
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chronique des croisières 42
Une chronique un peu spéciale, une émission presque sous-marine, on se croirait dans les cales d’un navire. Avec Marie, on plonge dans la Recherche du temps perdu et « ses phrases fleuves qui peuvent se dérouler comme de longs serpents sinueux sur plusieurs pages ». C’est ici la première recension que Marie nous donne de sa re-lecture de « La Recherche » ; la suite est à venir… Avec Frédéric on plonge dans la recherche du côté de chez soi et de Syd Barett. Avec Laurent, on plonge dans le soleil noir. Plongez!
chronique des croisières 41
Dans cette chronique des croisières, vous pourrez entendre Patrice nous parler « Du temps de l’amour de la radio », Mélina dire Emily Dickinson, en vo en vf, Fatima nous conseiller de regarder « Je ne suis pas un chinetoque » et lire Djamila Ribeiro, Dario Moreno chanter « Seul ». Vous pourrez entendre aussi Nourdine à propos de l’Absence, Frédéric qui veut de l’écho sur le disque bleu, le duo « les Pan Cakes » reprendre le titre « De mùsica ligera ». Mohend a dessiné un zombie sur un carton : on peut y voir Frankenstein ou Freud glabre ou un paysan combien, ce qu’on veut… L’ Adamant Sound System est là aussi avec Mélina qui chante « Hey baby! », c’est vraiment bien! Rachel aimerait que le temps ralentisse, que la vie ne soit pas une course chronométrée. Caroline aime les cauchemars, les réveils n’en sont que plus savoureux. Philippe nous recommande deux pièces de théâtre et Mamadi nous parle du destin tragique de son grand-père. Et puis Charles Baudelaire avec Mélina et Guillaume, accompagnés par Terry Riley, « In C ». Et une annonce surprise…
chronique des croisières 40
Dans ce 40ème épisode de la chronique des croisières deux nouvelles voix, celle de Sébastien, en italien, et celle d’Aziz qui dit un poème d’Abdelatif Laâbi, en arabe, un poème d’amour. Mélina lit des fragments de Marilyn Monroe, Nourdine nous parle de l’espoir et Laurent du désespoir. Fatima est là pour nous dire que rien n’est perdu. Patrice s’adresse au premier ministre dans une lettre où il est question de tracteurs, de Vladimir Poutine et d’armes bactériologiques. Frédéric chante les anges qui aiment la musique. Marine lit un texte à propos de l’Amour fou de Jacques Rivette. Muriel aime Janis Joplin depuis ses 17 ans, Nicolas Philibert était venu la filmer chez elle écoutant ce disque, elle ne sait pas si ce sera dans le film… De l’amour et de l’espoir encore avec David qui nous parle de sa famille. Rachel lit « À la fenêtre » de Robert Walser. Avec Adamo qui chante Ensemble, Narcisso Yepes à la guitare et Guillaume au ukulélé, Mélina à l’orgue (et Jérôme aussi). Comme d’habitude, rien n’était prévu …nous ne savions pas où nous allions et pourtant nous sommes arrivés à bon port.
chronique des croisières 39
Une chronique des croisières placée sous le signe de l’éternel retour de la madeleine de la recherche du temps perdu avec la reprise de Frédéric qui a lu l’Ève future, la famille selon Patrice qui n’aime pas Proust, un poème comme seule Mélina en a le secret, un souvenir d’enfance de Jérôme, fidèle auditeur de notre mixture, le regard de Nourdine qui se demande jusqu’où peut-on aller par amour, on chante encore et Falstaff déraille, il y a Gladys, on nous dit « Veiller sur elle », retour de Balbec et son festival du cinéma romantique, le duo Deux,Alain et son médecin post punk des Basic Shapes, la Mouette de Carole , le crayon de Mohend qui court sur la table, une vague qui revient, une liste des sons qui n’existent pas, Sexy Sushi qui chante Rachida, Picasso est là et David s’intéresse aux rites chamaniques. Tout passe et repasse.
chronique des croisières 38
Jouer à cache cache avec les forces de l’ordre dans les bois et » poser un son » dans les champs pour danser comme on veut, comme des fous, pendant des heures et des heures sous le soleil et la pluie. Free party. Sound system sauvage. Des Spiral Tribe à Jules Dassin il n’y a qu’un pas, c’est « Jamais le dimanche ». Et puis il y a les cauchemars des nuits vandales! Lointains souvenirs de cette vie, il regarde la musique en bleu ciel et se fiche pas mal des Stones! Lui ne demande qu’un peu d’attention, une invitation, pourquoi pas un chapeau ? Ou bien un livre épais et pas cher, ou un autre consacré à Jules et Jo Dassin, père et fils, à la fille de Nicolas de Staël ? Une version très très très très courte des choses très très très très longues de la vie.
chronique des croisières 37
Une chronique des croisières sous le signe du lointain. Du proche et du lointain. De l’étrange parfois. La radio Schizophonia/Metanoîa de Bondy nous rendait visite… Salvador Dali aussi. De l’or et de l’argent, « Un voyage qui nous ramène aussi loin que la voie lactée », les étoiles du ciel d’Egypte, un mélange de planètes. Un poème sans titre qui s’intitule le Loch et le lac! Il y est question du film OUTRAGE (1950) de Ida Lupino ; un film réalisé par une femme qui nous raconte l’histoire d’une femme victime d’un viol… Quelqu’un d’autre se demande pourquoi les gens ne se tiennent plus par la main. Ici tout se tient.
pour écouter Metanoïa et Schizophonia, c’est ici
chronique des croisières 36
Dans cette chronique de décembre, on n’entend pas le velouté de carottes ni le poulet citron olives que nous avons cuisiné ensemble le matin. On entend François de Roubaix et Frédéric qui chante. On entend le son du cornet et de la basse. On entend la langue de Robert Walser, Welt (Monde) et Brausen ( Souffle). On entend Mon Pote Le Gitan. On entend une histoire de sorcières et une autre de voleuse compulsive façon Hitchcock. On entend l’accord, une manière de se glisser dans le rythme.
chronique des croisières 35
Tout part d’un 45 tours. Pas vraiment une croisière mais une aventure avec des nazis, des indiens d’Amazonie, un archéologue qui porte le nom du chien de son père, une amoureuse aux confins du Népal. Cet homme a un fouet, fouet qui a peut-être appartenu à Zorro, cet homme est sans doute une copie de Tintin voire un alter ego de L’homme de Rio. Nourdine parle du film « Il y a longtemps que je t’aime », un film qu’il nous raconte « dans les sens inverse », un film où il est question de l’euthanasie. Il faut avoir le coeur bien accroché à la radio. Margot est là avec une magnifique chanson, Céline a pensé à nous et envoyé un texte. Stéphane de radio Fréquence Paris Plurielle nous a rendu visite. On entend Elvis au loin, ça vient d’Hawaï via satellite. Le Pacifique dont nous parlerons très bientôt avec des sons de Tahiti et de la Nouvelle Calédonie. Aloha!
chronique des croisières 34
Nourdine a regardé « La jeune fille à la perle » et il se demande ce qu’est le Beau. Frédéric a regardé « Les ailes du désir » et il se demande ce que fait cet ange dans un cirque à Berlin. Laurent a regardé les étoiles et il se demande si l’espace existe, il doute. Caroline a horreur de l’infiniment petit. Patrice trouve que les philosophes tournent en rond. Pour bien s’y retrouver, d’après Alain, il faut venir sur l’Adamant chaque lundi vers midi, on s’occupe de la civilisation de manière concrète en proposant un accueil Café digne de ce nom. La platine tourne, là en Chine plus tard en Inde, dans l’Ouest américain. Infiniment grand, petit, beauté du diable, désir zélé, gluon et mécanique ondulatoire, tout y passe. Et puis il y a Alex à la guitare! Et Jérôme qui assure les transitions. Et Mohend! Et Mireille!