chronique des croisières 54

C’est une histoire d’amour fou chantée par Mélina, ça se passe quelque part en Italie, « Coco Citron ». C’est une histoire, on ne sait pas laquelle, c’est plutôt le prélude d’une histoire chantée par Laurent. C’est l’histoire d’une chanson, de l’enregistrement d’une chanson par l’Adamant Sound System, « Wherever you are ». C’est l’histoire d’une rencontre dans des ateliers où on commence à « se connaitre dans un certain type d’ambiance ». C’est encore l’Italie, Naples, Florence, Rome et caetera. C’est une histoire de temps qui passe, une histoire d’amour et une reprise d’Iron Maiden « Wasted years » avec Alex. C’est aussi une histoire de rupture, « Je me romps tout seul » dit Jérôme, superbe! Ça pourrait être une histoire à la Jules les Églises… C’était un lendemain d’élections.


chronique des croisières 53

Dans cette Chronique des croisières, il est question d’une naissance, celle du club, c’est l’occasion de revisiter la question sensible des origines et des fondateurs… une fiction de plus chaque année quand arrive l’Assemblée Générale. À ce propos, à qui attribuer ce chant traditionnel hébraïque? Charles Aznavour, Bob Azzam, Les Compagnons de la Chanson? S’agit-il de musique klezmer? Vous entendrez également une évocation de la survivance et peut-être par association d’idées une discussion à propos de la solidarité. Les origines, le club, Bob Dylan, le fondateurs, la solidarité, klezmer, des histoires plus que l’Histoire.

chronique des croisières 52

C’est le retour de la chronique des croisières, la 52ème du nom. Une chronique placée sous le signe de l’étrange avec des pianos désaccordés, une platine capricieuse, des textes ciselés, des chansons K7,un trombone, Nana Mouskouri au ralenti, des musiques du Moyen Âge et une question métaphysique, existentielle : à quoi engage d’être un créateur? Des nouvelles du club L’Embarcadère avec la création d’un site web, des échanges soutenus en fond de court et Schubert revisité. Tapis dans ce maelström sonores quelques rêves avec Jean Oury et une histoire de piscine municipale… et un OSNI, « c’est quand il pleut que l’on fait les meilleures nuits ». Avec Jérôme au micro pour orchestrer tout ça, bravo!

chronique des croisières 51

Ça commence avec une question, « Comment peut-on être dentiste? » Soigner la douleur, dans la douleur, « c’est sans danger » nous dit le dentiste du film Marathon Man. Et puis un message téléphonique avec la voix d’un enfant qui se pose des questions à propos de la mission Apollo VIII avant un autre message s’adressant aux habitants de la face cachée de la Lune. Un texte de Patrice, « Les Pontes ». Arrive alors une chanson d’amour, « For Ireland, I’ll not tell her name », une histoire d’exil et de retour. De l’amour encore avec Emily Dickinson lue par Mélina. Des chansons avec Laurent, superbe! Une autre chanson, « Errer sans fin », reprise de Ramblig Boy : « je te salue mon vieux copain, garde la joie d’errer sans fin ». Et enfin Mamadi qui chante la dureté de la vie, sa douleur. Amour et douleur.

chronique des croisières 50

Et voilà le numéro 50 de la Chronique des croisières! L’occasion d’appeler quelqu’un qui nous est cher. D’entendre pour la première fois la chronique « ciné à la télé » par Mohend avec au menu des piranhas, des extraterrestres et quelques vampires. D’en savoir un peu plus sur la vie de Marylin Manson avec Brahim ou bien encore de la musique venue de…quelque part. Et puis des chansons, un texte avec des armes et des hirondelles.

chronique des croisières 49

Bientôt la 50ème, et oui….et toujours pas de nouvelles de la 46ème chronique! En attendant la prochaine et celle qui s’est perdue, une chanson de Laurent accompagné à la guitare par Alexander, « Quel que soit le jour, quelle que soit la nuit », un texte de Patrice à propos des Jeux Olympiques. Encore une chanson avec Alexander, en espagnol et en français et en anglais et et et et…. I’m a weirdo. Il y a du PFAS dans les cordes! On retrouve Proust avec Marie qui a choisi 2 extraits a priori sans rapport et pourtant… Que se passe-t-il lorsqu’on devient un personnage, pour les autres et pour soi-même? Les pommiers en fleurs de Balbec, une journée de printemps. Le temps qui passe, le temps qu’il fait. Plus loin, une chanson remixée de Mamadi, a capella, géniale. Ça parle d’ « un réveil gracieux ». 2 OSNI de Jérôme bientôt au Chair de Poule. Rachel qui chante, on croirait entendre Robert Wyatt et Christophe réunis, extraordinaire. Guillaume à la platine avec ses 45t, où va-t-il chercher ça?

chronique des croisières 48

Dans cette chronique des croisières, la 48 ème du nom, toujours aucune nouvelle de la 46 ème… Nous poursuivons la recherche du temps perdu avec la petite phrase de Vinteuil, nous sommes sur la Seine, à l’affût des moindres variations, nous sommes en 1976 avec une reprise de Dady Cool, nous retrouvons Salomé en Judée, une histoire vieille comme Hérode. Un spectateur du film « Averroès et Rosa Parks » livre son commentaire, Christophe chante « les mots bleus », une auditrice appelle de Moscou, un détour vers l’antiquité romaine avec « Les centuries ». Et puis l’avenir, une spéciale Tahiti et l’assemblée générale du club « L’embarcadère » le 06 juin…

chronique des croisières 47

Prenez un dictateur, un lapin, un canard, une madeleine, mélangez bien, mettez y beaucoup d’amour, une pincée de solitude, quelques airs de guitare, le souvenir de Claudia Cardinale dans un train. Laissez reposer le temps d’une chanson ou deux ou trois… Incorporez des extraits de cinéma, allez y franchement, encore un peu de guitare, « quelques » touches d’orgue Hammond. Et puis bien sûr la mélopée de Laurent. Saupoudrez enfin de quelques commentaires du spectacle « La fille polaire » de Camille Feist. Avec Alexander à la manoeuvre, tout en souplesse.

chronique des croisières 45

Impossible de résumer tout ce qui se passe dans cette chronique des croisières 45 ème du nom mais essayons quand même au risque de quelques raccourcis. Ça commence en chanson avec Laurent et « Le Royaume » et ça se poursuit avec la lecture d’un extrait du roman de Brahim, « Les épines du jour » avant de bifurquer vers Stelvio Cipriani à l’honneur dans un bricolage ciné-sono de Jérôme. Et puis arrivent la musique du film Exodus et le texte de Patrice « La radio du crépuscule ». Du cinéma encore avec la sortie du film « Averroès et Rosa Parks ». Et la bande originale du film « Les volets clos »! Philippe nous livre un rêve puis deux. Un disque rayé bizarre avant de finir en beauté avec Sarah Vaughan.