Archives de catégorie : Ballade sonore

chronique des croisières 34

Nourdine a regardé « La jeune fille à la perle » et il se demande ce qu’est le Beau. Frédéric a regardé « Les ailes du désir » et il se demande ce que fait cet ange dans un cirque à Berlin. Laurent a regardé les étoiles et il se demande si l’espace existe, il doute. Caroline a horreur de l’infiniment petit. Patrice trouve que les philosophes tournent en rond. Pour bien s’y retrouver, d’après Alain, il faut venir sur l’Adamant chaque lundi vers midi, on s’occupe de la civilisation de manière concrète en proposant un accueil Café digne de ce nom. La platine tourne, là en Chine plus tard en Inde, dans l’Ouest américain. Infiniment grand, petit, beauté du diable, désir zélé, gluon et mécanique ondulatoire, tout y passe. Et puis il y a Alex à la guitare! Et Jérôme qui assure les transitions. Et Mohend! Et Mireille!

chronique des croisières 24

image, Margot R.

Chronique des croisières numéro 24 plongée dans une sorte de brouillard électronique, les voix sont étranges, il y a de la friture, du bug dans l’air, un problème de câble défectueux sans doute… On peut quand même entendre une ballade interprétée par Margot, un poème, « Les passantes » , lu par Damien, un magnéto K7 qui crépite, des rires, des cris d’oiseaux et le vol d’une mouche grâce à Laurent B. C’est un peu bruitiste. Nos services interviennent dans les plus brefs délais, veuillez nous excuser pour la gêne occasionnée, merci et à lundi, 26 juin, pour une spéciale HÖPITAL!!!

Merci à Pauline, Jérôme, Alain, Sandrine, Margot, Hanna, Caroline, Kristelle, Frédéric, Thomas, Mohend

un jour à Lille

Allez hop, on va à Lille! Pas de frite géante sur la place François Mitterrand mais des sculptures psychédéliques de l’artiste japonaise Yayoi Kusama. On s’arrête, on regarde, on commente.

Les voilà les frites, même si, là, il est d’abord question de s’initier à la langue Ch’ti.

On se balade dans le vieux Lille, on discute de l’ambiance, de l’architecture avant de rentrer à Paris.

Avec la marche

Remise en ligne d’un document datant de 2012.

Marcher, prendre la route, arpenter. Partir de l’îlot flottant et aller écouter, percevoir, capter ce que raconte la rue Crémieux. Pas à pas, les choses se devinent, les voix se superposent et guident l’auditeur dans sa perception.

Extrait de « La ville sans qualités » d’Isaac Joseph, lu par Jérôme Desmarestz.