Archives de catégorie : cinéma

chronique des croisières 51

Ça commence avec une question, « Comment peut-on être dentiste? » Soigner la douleur, dans la douleur, « c’est sans danger » nous dit le dentiste du film Marathon Man. Et puis un message téléphonique avec la voix d’un enfant qui se pose des questions à propos de la mission Apollo VIII avant un autre message s’adressant aux habitants de la face cachée de la Lune. Un texte de Patrice, « Les Pontes ». Arrive alors une chanson d’amour, « For Ireland, I’ll not tell her name », une histoire d’exil et de retour. De l’amour encore avec Emily Dickinson lue par Mélina. Des chansons avec Laurent, superbe! Une autre chanson, « Errer sans fin », reprise de Ramblig Boy : « je te salue mon vieux copain, garde la joie d’errer sans fin ». Et enfin Mamadi qui chante la dureté de la vie, sa douleur. Amour et douleur.

chronique des croisières 50

Et voilà le numéro 50 de la Chronique des croisières! L’occasion d’appeler quelqu’un qui nous est cher. D’entendre pour la première fois la chronique « ciné à la télé » par Mohend avec au menu des piranhas, des extraterrestres et quelques vampires. D’en savoir un peu plus sur la vie de Marylin Manson avec Brahim ou bien encore de la musique venue de…quelque part. Et puis des chansons, un texte avec des armes et des hirondelles.

chronique des croisières 49

Bientôt la 50ème, et oui….et toujours pas de nouvelles de la 46ème chronique! En attendant la prochaine et celle qui s’est perdue, une chanson de Laurent accompagné à la guitare par Alexander, « Quel que soit le jour, quelle que soit la nuit », un texte de Patrice à propos des Jeux Olympiques. Encore une chanson avec Alexander, en espagnol et en français et en anglais et et et et…. I’m a weirdo. Il y a du PFAS dans les cordes! On retrouve Proust avec Marie qui a choisi 2 extraits a priori sans rapport et pourtant… Que se passe-t-il lorsqu’on devient un personnage, pour les autres et pour soi-même? Les pommiers en fleurs de Balbec, une journée de printemps. Le temps qui passe, le temps qu’il fait. Plus loin, une chanson remixée de Mamadi, a capella, géniale. Ça parle d’ « un réveil gracieux ». 2 OSNI de Jérôme bientôt au Chair de Poule. Rachel qui chante, on croirait entendre Robert Wyatt et Christophe réunis, extraordinaire. Guillaume à la platine avec ses 45t, où va-t-il chercher ça?

chronique des croisières 48

Dans cette chronique des croisières, la 48 ème du nom, toujours aucune nouvelle de la 46 ème… Nous poursuivons la recherche du temps perdu avec la petite phrase de Vinteuil, nous sommes sur la Seine, à l’affût des moindres variations, nous sommes en 1976 avec une reprise de Dady Cool, nous retrouvons Salomé en Judée, une histoire vieille comme Hérode. Un spectateur du film « Averroès et Rosa Parks » livre son commentaire, Christophe chante « les mots bleus », une auditrice appelle de Moscou, un détour vers l’antiquité romaine avec « Les centuries ». Et puis l’avenir, une spéciale Tahiti et l’assemblée générale du club « L’embarcadère » le 06 juin…

chronique des croisières 47

Prenez un dictateur, un lapin, un canard, une madeleine, mélangez bien, mettez y beaucoup d’amour, une pincée de solitude, quelques airs de guitare, le souvenir de Claudia Cardinale dans un train. Laissez reposer le temps d’une chanson ou deux ou trois… Incorporez des extraits de cinéma, allez y franchement, encore un peu de guitare, « quelques » touches d’orgue Hammond. Et puis bien sûr la mélopée de Laurent. Saupoudrez enfin de quelques commentaires du spectacle « La fille polaire » de Camille Feist. Avec Alexander à la manoeuvre, tout en souplesse.

chronique des croisières 45

Impossible de résumer tout ce qui se passe dans cette chronique des croisières 45 ème du nom mais essayons quand même au risque de quelques raccourcis. Ça commence en chanson avec Laurent et « Le Royaume » et ça se poursuit avec la lecture d’un extrait du roman de Brahim, « Les épines du jour » avant de bifurquer vers Stelvio Cipriani à l’honneur dans un bricolage ciné-sono de Jérôme. Et puis arrivent la musique du film Exodus et le texte de Patrice « La radio du crépuscule ». Du cinéma encore avec la sortie du film « Averroès et Rosa Parks ». Et la bande originale du film « Les volets clos »! Philippe nous livre un rêve puis deux. Un disque rayé bizarre avant de finir en beauté avec Sarah Vaughan.

chronique des croisières 44

Une 44 ème Chronique des croisières qui arrive avec un peu de retard puisque nous nous trouvions toute la semaine passée aux 7èmes Rencontres des pratiques brutes de la musique dans le cadre du festival Sonic Protest dans les locaux de Mains d’Oeuvre à St Ouen. On y reviendra plus tard. Pour l’heure, place aux oiseaux, à Joselito « l’enfant à la voix d’or », à la poursuite de La recherche du temps perdu où l’on entend la pluie, où l’on devine le visage de Mme Verdurin, place à la condition de l’être « où un si, un mais nous renvoient à un moi », place aux anges buvant du café avec l’inspecteur Derrick pour sortir du désespoir, un bébé qui gazouille, place à la fin de la nuit…. Un air de songe d’une nuit d’été justement, Zweig lecteur de Freud, et Philippe Laville et Francis Lalane et France Galles! Et puis un OSNI et une surprise…

chronique des croisières 40

Dans ce 40ème épisode de la chronique des croisières deux nouvelles voix, celle de Sébastien, en italien, et celle d’Aziz qui dit un poème d’Abdelatif Laâbi, en arabe, un poème d’amour. Mélina lit des fragments de Marilyn Monroe, Nourdine nous parle de l’espoir et Laurent du désespoir. Fatima est là pour nous dire que rien n’est perdu. Patrice s’adresse au premier ministre dans une lettre où il est question de tracteurs, de Vladimir Poutine et d’armes bactériologiques. Frédéric chante les anges qui aiment la musique. Marine lit un texte à propos de l’Amour fou de Jacques Rivette. Muriel aime Janis Joplin depuis ses 17 ans, Nicolas Philibert était venu la filmer chez elle écoutant ce disque, elle ne sait pas si ce sera dans le film… De l’amour et de l’espoir encore avec David qui nous parle de sa famille. Rachel lit « À la fenêtre » de Robert Walser. Avec Adamo qui chante Ensemble, Narcisso Yepes à la guitare et Guillaume au ukulélé, Mélina à l’orgue (et Jérôme aussi). Comme d’habitude, rien n’était prévu …nous ne savions pas où nous allions et pourtant nous sommes arrivés à bon port.

en passant par la Quincaillerie

C’était en mai 2023, nous étions partis quelques uns en direction d’Alésia, plus précisément à Venarey les Laumes en Côte d’Or. Nous nous rendions à la Quincaillerie pour y assister à la projection du film « D’un pays lointain ». C’est Simon Gillet, le réalisateur du film, qui avait imaginé ce « voyage ». Là-bas, Alexis Forestier et Itto Mehdaoui nous attendaient, nous les avions déjà croisés à Main d’Oeuvre, Saint Ouen, à l’occasion des Rencontres Internationales des Pratiques Brutes de la Musique. Il y avait aussi Barnabé Perrotey, un des acteurs du film, et puis des gens du coin et d’ailleurs, des amis, des voisins…on était bien.

chronique des croisières 39

dessin : NOURDINE

Une chronique des croisières placée sous le signe de l’éternel retour de la madeleine de la recherche du temps perdu avec la reprise de Frédéric qui a lu l’Ève future, la famille selon Patrice qui n’aime pas Proust, un poème comme seule Mélina en a le secret, un souvenir d’enfance de Jérôme, fidèle auditeur de notre mixture, le regard de Nourdine qui se demande jusqu’où peut-on aller par amour, on chante encore et Falstaff déraille, il y a Gladys, on nous dit « Veiller sur elle », retour de Balbec et son festival du cinéma romantique, le duo Deux,Alain et son médecin post punk des Basic Shapes, la Mouette de Carole , le crayon de Mohend qui court sur la table, une vague qui revient, une liste des sons qui n’existent pas, Sexy Sushi qui chante Rachida, Picasso est là et David s’intéresse aux rites chamaniques. Tout passe et repasse.