
Alain marche très tôt le matin quand il fait encore nuit, avant l’aube, jusqu’à l’aurore. Il cherche la fatigue, une ivresse toute en sobriété. Il cherche le silence, une lumière, comme Frédéric explore les rues de Paris, fin limier de l’aura d’une époque révolue. C’est un travail, une nécessité poétique. De jour comme de nuit.