Une 28ème chronique des croisières qui arrive avec quelque retard… Nous étions très nombreux lundi dernier, beaucoup de prises de parole avec hélas un câble de micro défectueux, ceci expliquant un son qu’on dirait sorti tout droit du répondeur téléphonique de Là bas si j’y suis, émission chère à David, certaines interventions n’ont hélas pas pu être gardées au montage. Damien, il faudra refaire la chronique de l’ovalie, désolé Tanguy pour votre souvenir de l’émission Jazz à FIP du dimanche soir en voiture… Toutes nos excuses. Pour autant, vous pourrez entendre ici un texte de Patrice qui nous parle de l’indifférence des passants devant ceux qui vivent dans la rue, une lecture de Babar par Hanna suivie d’une réflexion quant à l’influence de celui-ci sur Jim Morrison, une intervention quasi phénoménologique de Rachel qui se demande quel impact peut bien avoir la parole, Muriel est venue nous parler de l’importance de l’amitié, Carole nous présente quelques vinyles piochés au hasard (?) dans les bacs de l’Adamant et Caroline reprend Adamo!
3 réflexions sur « chronique des croisières 28 »
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De Babar à Jim Morrison à Cynthia Fleury ça foisonne et la gaieté qui en ressort n’enlève rien à la profondeur des idées débattues. Bravo
Justement, l’amitié, je comptais en parler le 4 novembre à Montrouge avec Patrice….
Très beau débat sur la puissance de la parole.
Quant à cet hommage à Gene Loves Jezebel, sachez que les deux frères jumeaux à l’origine de ce groupe se sont brouillés et que depuis 1997 il existe deux variants de ce groupe, portant le même nom ! Deux Gene Loves Jezebel pour le prix d’un, vous pouvez commencer à trembler !!!
Ça lui donne un certain charme, à cette chronique riche en voix, ce son craquelant qui nous empêche de nous éloigner de trop des paroles…