Allez hop, on va à Lille! Pas de frite géante sur la place François Mitterrand mais des sculptures psychédéliques de l’artiste japonaise Yayoi Kusama. On s’arrête, on regarde, on commente.
Les voilà les frites, même si, là, il est d’abord question de s’initier à la langue Ch’ti.
On se balade dans le vieux Lille, on discute de l’ambiance, de l’architecture avant de rentrer à Paris.
Que va-t-il se passer dans les jours à venir? Pas de boule de cristal ni de cartomancie mais l’agenda (partiel, on fera mieux la prochaine fois) des sorties à venir depuis l’Adamant et L’Embarcadère.
Vers l’inconnu, 1993 (détail), technique mixte (peinture et collage), Olivier.
Olivier est un poète dit « voyant » ou encore « un voyou de la science », il a bien voulu se prêter au jeu de l’interview afin de nous raconter par quels chemins il en était venu à écrire de la poésie et selon quels procédés. Une rencontre en 3 temps où il est question de mathématiques, de théologie, du Moi qui grince et d’un « je souffre donc je suis ».
Les deux premières parties ont été enregistrées chez Olivier et la troisième sur l’Adamant.
affiche Arnaud Vallet1ère partie2nde partie 3ème partie 4ème et dernière partie.
Natacha Guiller est une artiste protéiforme, elle est dessinatrice, poète, slameuse, entre autres, elle fait 1000 et une choses. Elle a la singularité d’être également médiatrice santé pair ; la psychiatrie elle en connaît un rayon, plusieurs même, c’est sur la base de cette expérience qu’elle intervient dans les hôpitaux. Une patiente soignante. Elle était l’invité de Rhizome au mois de janvier où un public nombreux était venu l’écouter, lui poser des questions, témoigner. Où il est question de son statut, son rôle et sa fonction, du potentiel soignant.
Retour sur les Rencontres autour des pratiques brutes de la musique dans le cadre du Festival Sonic Protest 2021 qui se déroulaient à la Parole Errante, Montreuil. L’occasion d’accueillir dans le studio radio de la maison Armand Gatti, Frédéric et son magnéto K7 pour une interview. Tu crois arriver à Montreuil et tu te retrouves à San Francisco. Un « déjà vu »!
Discussion après écoute de la première partie. Où il est question des pathologies du mouvement, d’une confusion entre enfermement et immobilité, du corps inarticulé et du mutisme, du confinement, de la danse des mots, du rythme… On entend à nouveau Jean Oury à propos du « passage » dans un entretien extrait du CD accompagnant le numéro 40 de la revue Chimères, « le bruit du temps ».