Tout le monde a peur de l’instant final, mais pourquoi? Ne viverions-nous pas plus sereinement sans cette peur viscérale?
L’instant final est une chanson écrite et interprétée par Marc Nauciel.
photo de Marc Nauciel
Voyage au bout de la nuit: les derniers instants de Jim Morrison en séjour à Paris, 1971. Par une nuit d’orage, les dealers se jettent sur Jim et le balancent par la fenêtre. Pamela se penche sur le corps sans vie de l’homme qu’elle aime: « He’s dead…you can see in the eyes. »
magnétophone K7+guitare+synthé+voix,collage Frédéric Prieur
Le Chaudron, est une péniche. Mais aussi un cabinet d’architecture spécialisé dans la conception de bâtiments flottants. L’un des architectes, M. Ronzatti, nous parle de son métier.
Collage Margot R.
La passion meurt quand l’imagination cesse. Ici, on entend cette réminiscence d’une femme qui ne s’oublie plus. Souvenir d’une éphémère rencontre qui dévaste, ébranle et reconstruit.
Lecture d’un poème de Kiko par le comédien «Michel», à la Libraire «Lucarne des écrivains».
Dessin au feutre : Margot R.
Prendre la route à pieds, arpenter. Partir de l’îlot flottant et aller écouter, percevoir, capter ce que raconte la rue Crémieux. Ceci est l’itinéraire sonore de ce chemin où se mêlent les sons urbains du quotidien et ceux inattendus de ce qui se passe ici et maintenant, à la lecture de l’autre, où de celle contée. Pas à pas, les choses se devinent, les voix se superposent et guident l’auditeur dans sa perception. On y entend ce que d’autres croient entendre, écoutons !
Extrait de « La ville sans qualités » d’Isaac Joseph, lu par Jérôme Desmarestz.