
Marion Armellino nous parle de l’EMDR. Comment peut-on vivre avec nos traumatismes ? Comment parler de nos émotions ?
Marion Armellino nous parle de l’EMDR. Comment peut-on vivre avec nos traumatismes ? Comment parler de nos émotions ?
Et si nous parlions de ce comment nous devrions choisir ? ou ne pas choisir ? Qu’est ce que nous choisissons ? A la rencontre d’Anne Laure Lebrun, journaliste et pigiste à UFC que choisir.
Nicolas Philibert, cinéaste éminent vient nous présenter le coffret DVD qui clôt (provisoirement ?) son travail autour de la psychiatrie et des institutions afférentes. Rencontre à bâtons rompus.
L’émission mensuelle de scène ouverte, de débats, de discussion d’open mike. Plusieurs sujets et témoignages variés qui racontent le quotidien de chacun avec une pointe de poésie et de musique.
Il parait qu’en Laponie de l’Ouest (Finlande) une équipe a créé une approche révolutionnaire de la gestion de la crise, en s’inspirant des principes dialogiques et du soin inclusif dans la communauté.
Ce qui est bon pour les Lapons en crise est-il exportable à Paris ? Dans quelles conditions ? Et pour quelle politique de soins ?
Adrienne Gouzien, psychiatre au centre EMAPSY répond à toutes nos questions.
dessin : Mohend
Sonia Terhzaz a réuni sa passion pour l’art marginal et pour les bons contacts humains en ouvrant il y a 10 ans le bar Chair de Poule qui est depuis devenu son Grand Oeuvre.
On peut y boire un verre, y pousser la chansonnette ou s’y livrer à diverses performances artistico-bricolées. Et ce ne sont là qu’un florilège des diverses activités proposés par Sonia à sa tribu.
Chaire de Poule et Adamant, entre nos deux rives coule la même rivière.
C’est une histoire d’amour fou chantée par Mélina, ça se passe quelque part en Italie, « Coco Citron ». C’est une histoire, on ne sait pas laquelle, c’est plutôt le prélude d’une histoire chantée par Laurent. C’est l’histoire d’une chanson, de l’enregistrement d’une chanson par l’Adamant Sound System, « Wherever you are ». C’est l’histoire d’une rencontre dans des ateliers où on commence à « se connaitre dans un certain type d’ambiance ». C’est encore l’Italie, Naples, Florence, Rome et caetera. C’est une histoire de temps qui passe, une histoire d’amour et une reprise d’Iron Maiden « Wasted years » avec Alex. C’est aussi une histoire de rupture, « Je me romps tout seul » dit Jérôme, superbe! Ça pourrait être une histoire à la Jules les Églises… C’était un lendemain d’élections.
Dans cette Chronique des croisières, il est question d’une naissance, celle du club, c’est l’occasion de revisiter la question sensible des origines et des fondateurs… une fiction de plus chaque année quand arrive l’Assemblée Générale. À ce propos, à qui attribuer ce chant traditionnel hébraïque? Charles Aznavour, Bob Azzam, Les Compagnons de la Chanson? S’agit-il de musique klezmer? Vous entendrez également une évocation de la survivance et peut-être par association d’idées une discussion à propos de la solidarité. Les origines, le club, Bob Dylan, le fondateurs, la solidarité, klezmer, des histoires plus que l’Histoire.
C’est le retour de la chronique des croisières, la 52ème du nom. Une chronique placée sous le signe de l’étrange avec des pianos désaccordés, une platine capricieuse, des textes ciselés, des chansons K7,un trombone, Nana Mouskouri au ralenti, des musiques du Moyen Âge et une question métaphysique, existentielle : à quoi engage d’être un créateur? Des nouvelles du club L’Embarcadère avec la création d’un site web, des échanges soutenus en fond de court et Schubert revisité. Tapis dans ce maelström sonores quelques rêves avec Jean Oury et une histoire de piscine municipale… et un OSNI, « c’est quand il pleut que l’on fait les meilleures nuits ». Avec Jérôme au micro pour orchestrer tout ça, bravo!
Ça commence avec une question, « Comment peut-on être dentiste? » Soigner la douleur, dans la douleur, « c’est sans danger » nous dit le dentiste du film Marathon Man. Et puis un message téléphonique avec la voix d’un enfant qui se pose des questions à propos de la mission Apollo VIII avant un autre message s’adressant aux habitants de la face cachée de la Lune. Un texte de Patrice, « Les Pontes ». Arrive alors une chanson d’amour, « For Ireland, I’ll not tell her name », une histoire d’exil et de retour. De l’amour encore avec Emily Dickinson lue par Mélina. Des chansons avec Laurent, superbe! Une autre chanson, « Errer sans fin », reprise de Ramblig Boy : « je te salue mon vieux copain, garde la joie d’errer sans fin ». Et enfin Mamadi qui chante la dureté de la vie, sa douleur. Amour et douleur.