Philippe Blanchet, journaliste et directeur de collection Rivages/Rouge était notre invité sur l’Adamant en juin 2021 à l’occasion de la parution de « Mon frère Robert Johnson, Dans l’intimité de la légende du blues« . Dans ce premier épisode, il nous raconte ses débuts, de Jazz Mag à Rock and Folk.
Avoir un chat (ou pas) chez soi à Paris
« Accueillir un animal chez soi peut être une fête. À l’heure où les associations de protection animale tentent d’empêcher le commerce d’animaux domestiques dans les animaleries et où le gouvernement réfléchit à un permis d’adopter, je me souviens que j’ai pu regretter de ne pas avoir eu une formation en plus de toutes mes lectures dans le domaine même si les vétérinaires aussi craignent les coups de griffes. »
Isabelle a longtemps hésité avant d’accueillir des chats chez elle, était -ce une contrainte supplémentaire ou bien une compagnie réconfortante? Une contrainte thérapeutique? That is the question.
Peut-être le début d’une chronique…
Boulevard de l’océan
Gaël est parti pour quelques mois en Bretagne pour suivre une formation de charpentier. Carte postale sonore de Moutiers, 8h du matin, c’est le mois de mars, il rejoint la place du village pour attendre son patron. Des oiseaux, quelques rares voitures et l’océan… Bonne écoute!
Hospitalisé sans hospitalité
3ème partie
Où il est question du personnel soignant et du discours de l’établissement.
Hospitalisé sans hospitalité
2ème partie
Suite de la rencontre avec Marius Jauffret sur l’Adamant. Où il est question entre autres de l’absence de liberté de circuler, de l’architecture, du pouvoir médical… Toutes les questions posées au cours de l’enregistrement n’ont pu être retenues compte tenu du dispositif de capture sonore. Il faut parfois tendre l’oreille…
Hospitalisé sans hospitalité
1ère partie
Marius Jauffret était notre invité en ce début d’année 2021 sur le bâtiment flottant de l’Adamant pour nous parler de son livre, Le fumoir et de son expérience de la psychiatrie, de son hospitalisation sous contrainte. Voilà la première partie de cette rencontre où il nous raconte les circonstances qui l’ont amené à se retrouver hospitalisé en psychiatrie.
Exercices de translation, épisode 5 (suite et fin)
Suite et fin de l’entretien d’Ivan. Où il est toujours question d’Helena Vladimirovna, la grand-mère paternelle. Une personne discrète voire secrète qui aimait s’occuper des autres, « un peu comme Stan » nous dit Ivan. Cultiver sa mémoire comme elle cultivait les roses.
Exercices de translation, épisode 4
Nous retrouvons Ivan, cette fois ci dans la bibliothèque de l’Adamant, sur la Seine, non pas pour poursuivre le travail de traduction engagé mais pour évoquer le souvenir de sa grand-mère maternelle, Helena Vladimirovna, femme d’ambassadeur russe, elle-même d’origine polonaise. Une femme « autonome à sa manière », grande lectrice, affectueuse, discrète mais ferme, qui aimait s’occuper des plantes du jardin de la datcha. Une femme qui a voyagé entre la France, le Laos, le Tchad, le Portugal, Vienne, le Mozambique…
Exercices de translation, épisode 3
Nous arrivons à la fin du chapitre où il est question du père d’Ivan, du lieu où réside son âme. Un autre chapitre de la généalogie s’ouvre avec un tableau du peintre Valentin Serov, l’Enlèvement d’Europe. D’un continent à l’autre, quelle transmission faut-il espérer?
Exercices de translation, épisode 2
Nous remettons la phrase interrompue lors de l’épisode précédent sur le métier. Qu’a voulu dire l’auteur par « humble », comment traduire ce mot, que faire des guillemets, comment les interpréter? Comment qualifier l’ambiance de l’époque soviétique : étouffante, pesante, oppressante? Que pouvait répondre un enfant à son institutrice lui demandant ce qu’il avait pensé d’un tableau représentant Lénine? Enfin, qui parle?