(4 ème et dernière partie)
Suite et fin de l’entretien avec Patrick. C’est « une histoire d’amour entre la guitare et ma tête » qui nécessite de trouver son rythme.
(4 ème et dernière partie)
Suite et fin de l’entretien avec Patrick. C’est « une histoire d’amour entre la guitare et ma tête » qui nécessite de trouver son rythme.
(3ème partie)
Où il est question des influences. Se faire sa place, se faire son propre style, devenir soi-même passe par les autres, par des rencontres amicales ou amoureuses, au risque parfois de s’y perdre…
(2nde partie)
On sort de l’adolescence. Patrick se retrouve vers Bordeaux, service militaire dans la marine et puis travaille à l’usine, reprend les études, essaye d’être enseignant. Si la musique est toujours là, la guitare n’y est plus, « les relations s’effilochent avec le monde extérieur ».
(1ère partie)
Patrick était adolescent au début des années 70, dans les hauteurs du Raincy en banlieue parisienne et il aimait la soul, le rhythm and blues qu’il écoutait avec ses copains dans la cave de l’immeuble. La traversée commence, Patrick parle de sa guitare, des influences musicales, de l’amour, de la « prolétarisation de son quotidien ».
Où il est enfin question du guitariste de blues Robert Johnson, du récit qu’en fait une des ses « petites soeurs ». Des récits qui sont de première main, c’est le parti pris de la collection Rivages/Rouge consacrée pour l’essentiel à la musique populaire anglo-américaine, des récits qu’il faut traduire.
Poursuite de l’entretien où il est question du cas Vince Taylor et de l’affaire des chips, de sa passion pour le polar et de son travail d’éditeur mais aussi des problèmes du capitaine Haddock…
Philippe Blanchet, journaliste et directeur de collection Rivages/Rouge était notre invité sur l’Adamant en juin 2021 à l’occasion de la parution de « Mon frère Robert Johnson, Dans l’intimité de la légende du blues« . Dans ce premier épisode, il nous raconte ses débuts, de Jazz Mag à Rock and Folk.
C’est un lieu de passage, avec des portes qui s’ouvrent et se ferment sans arrêt, des bruits de clefs, on traîne des sacs, quelqu’un passe la serpillère, un autre divague, au loin une voix qui grésille, une radio qui hurle en trombe, des bonjours discrets. Un couloir d’hôpital psychiatrique. Avec un piano. Ivan aime jouer, Bach, Scriabine, des airs populaires russes… Bonne écoute.
François aime le rock, celui de Gene Vincent, Chuck Berry, Jerry Lee Lewis. Il aime quand c’est sauvage, brut. il interprète ici un titre qu’il avait composé il y a plusieurs années pour une certaine Carole
Il y eut « L’homme aux loups », puis vint « L’homme au magnétophone », nous avons trouvé « L’homme au cor ». Il joue quotidiennement, pas plus d’une demi-heure, à proximité de la gare de Lyon, nous n’en dirons pas plus évidemment sur le lieu exact… Il s’entraîne en vue d’un concours avec l’aide en direct, via smartphone, de son professeur de musique, Nicolas Dromer. Mais au delà de ce concours à venir, c’est, pour cet homme à la profession très stressante, une véritable thérapie que de souffler dans le cor.