Ça commence avec une question, « Comment peut-on être dentiste? » Soigner la douleur, dans la douleur, « c’est sans danger » nous dit le dentiste du film Marathon Man. Et puis un message téléphonique avec la voix d’un enfant qui se pose des questions à propos de la mission Apollo VIII avant un autre message s’adressant aux habitants de la face cachée de la Lune. Un texte de Patrice, « Les Pontes ». Arrive alors une chanson d’amour, « For Ireland, I’ll not tell her name », une histoire d’exil et de retour. De l’amour encore avec Emily Dickinson lue par Mélina. Des chansons avec Laurent, superbe! Une autre chanson, « Errer sans fin », reprise de Ramblig Boy : « je te salue mon vieux copain, garde la joie d’errer sans fin ». Et enfin Mamadi qui chante la dureté de la vie, sa douleur. Amour et douleur.
Archives de catégorie : littérature
chronique des croisières 49
Bientôt la 50ème, et oui….et toujours pas de nouvelles de la 46ème chronique! En attendant la prochaine et celle qui s’est perdue, une chanson de Laurent accompagné à la guitare par Alexander, « Quel que soit le jour, quelle que soit la nuit », un texte de Patrice à propos des Jeux Olympiques. Encore une chanson avec Alexander, en espagnol et en français et en anglais et et et et…. I’m a weirdo. Il y a du PFAS dans les cordes! On retrouve Proust avec Marie qui a choisi 2 extraits a priori sans rapport et pourtant… Que se passe-t-il lorsqu’on devient un personnage, pour les autres et pour soi-même? Les pommiers en fleurs de Balbec, une journée de printemps. Le temps qui passe, le temps qu’il fait. Plus loin, une chanson remixée de Mamadi, a capella, géniale. Ça parle d’ « un réveil gracieux ». 2 OSNI de Jérôme bientôt au Chair de Poule. Rachel qui chante, on croirait entendre Robert Wyatt et Christophe réunis, extraordinaire. Guillaume à la platine avec ses 45t, où va-t-il chercher ça?
chronique des croisières 48
Dans cette chronique des croisières, la 48 ème du nom, toujours aucune nouvelle de la 46 ème… Nous poursuivons la recherche du temps perdu avec la petite phrase de Vinteuil, nous sommes sur la Seine, à l’affût des moindres variations, nous sommes en 1976 avec une reprise de Dady Cool, nous retrouvons Salomé en Judée, une histoire vieille comme Hérode. Un spectateur du film « Averroès et Rosa Parks » livre son commentaire, Christophe chante « les mots bleus », une auditrice appelle de Moscou, un détour vers l’antiquité romaine avec « Les centuries ». Et puis l’avenir, une spéciale Tahiti et l’assemblée générale du club « L’embarcadère » le 06 juin…
chronique des croisières 47
Prenez un dictateur, un lapin, un canard, une madeleine, mélangez bien, mettez y beaucoup d’amour, une pincée de solitude, quelques airs de guitare, le souvenir de Claudia Cardinale dans un train. Laissez reposer le temps d’une chanson ou deux ou trois… Incorporez des extraits de cinéma, allez y franchement, encore un peu de guitare, « quelques » touches d’orgue Hammond. Et puis bien sûr la mélopée de Laurent. Saupoudrez enfin de quelques commentaires du spectacle « La fille polaire » de Camille Feist. Avec Alexander à la manoeuvre, tout en souplesse.
chronique des croisières 45
Impossible de résumer tout ce qui se passe dans cette chronique des croisières 45 ème du nom mais essayons quand même au risque de quelques raccourcis. Ça commence en chanson avec Laurent et « Le Royaume » et ça se poursuit avec la lecture d’un extrait du roman de Brahim, « Les épines du jour » avant de bifurquer vers Stelvio Cipriani à l’honneur dans un bricolage ciné-sono de Jérôme. Et puis arrivent la musique du film Exodus et le texte de Patrice « La radio du crépuscule ». Du cinéma encore avec la sortie du film « Averroès et Rosa Parks ». Et la bande originale du film « Les volets clos »! Philippe nous livre un rêve puis deux. Un disque rayé bizarre avant de finir en beauté avec Sarah Vaughan.
chronique des croisières 44
Une 44 ème Chronique des croisières qui arrive avec un peu de retard puisque nous nous trouvions toute la semaine passée aux 7èmes Rencontres des pratiques brutes de la musique dans le cadre du festival Sonic Protest dans les locaux de Mains d’Oeuvre à St Ouen. On y reviendra plus tard. Pour l’heure, place aux oiseaux, à Joselito « l’enfant à la voix d’or », à la poursuite de La recherche du temps perdu où l’on entend la pluie, où l’on devine le visage de Mme Verdurin, place à la condition de l’être « où un si, un mais nous renvoient à un moi », place aux anges buvant du café avec l’inspecteur Derrick pour sortir du désespoir, un bébé qui gazouille, place à la fin de la nuit…. Un air de songe d’une nuit d’été justement, Zweig lecteur de Freud, et Philippe Laville et Francis Lalane et France Galles! Et puis un OSNI et une surprise…
chronique des croisières 43
Une 43ème chronique des croisières sous le signe du Cantique des cantiques avec Mélina, érotisme, philosophie, théologie, poésie, histoire, à vous de choisir… Mamadi est de la partie, il a des choses à dire : son père, la reine de Saba etc… Marie continue sa traversée de la Recherche du temps perdu dans les méandres de la mémoire, Rachel a écrit un texte : Intermède en gros mots. Laurent retrouve de la voix pour nous conter la complainte du Marcheur funèbre. Nourdine est là aussi avec le Bonheur. De la musique encore et une machine à écrire pour nous accompagner.
chronique des croisières 42
Une chronique un peu spéciale, une émission presque sous-marine, on se croirait dans les cales d’un navire. Avec Marie, on plonge dans la Recherche du temps perdu et « ses phrases fleuves qui peuvent se dérouler comme de longs serpents sinueux sur plusieurs pages ». C’est ici la première recension que Marie nous donne de sa re-lecture de « La Recherche » ; la suite est à venir… Avec Frédéric on plonge dans la recherche du côté de chez soi et de Syd Barett. Avec Laurent, on plonge dans le soleil noir. Plongez!
chronique des croisières 41
Dans cette chronique des croisières, vous pourrez entendre Patrice nous parler « Du temps de l’amour de la radio », Mélina dire Emily Dickinson, en vo en vf, Fatima nous conseiller de regarder « Je ne suis pas un chinetoque » et lire Djamila Ribeiro, Dario Moreno chanter « Seul ». Vous pourrez entendre aussi Nourdine à propos de l’Absence, Frédéric qui veut de l’écho sur le disque bleu, le duo « les Pan Cakes » reprendre le titre « De mùsica ligera ». Mohend a dessiné un zombie sur un carton : on peut y voir Frankenstein ou Freud glabre ou un paysan combien, ce qu’on veut… L’ Adamant Sound System est là aussi avec Mélina qui chante « Hey baby! », c’est vraiment bien! Rachel aimerait que le temps ralentisse, que la vie ne soit pas une course chronométrée. Caroline aime les cauchemars, les réveils n’en sont que plus savoureux. Philippe nous recommande deux pièces de théâtre et Mamadi nous parle du destin tragique de son grand-père. Et puis Charles Baudelaire avec Mélina et Guillaume, accompagnés par Terry Riley, « In C ». Et une annonce surprise…
chronique des croisières 40
Dans ce 40ème épisode de la chronique des croisières deux nouvelles voix, celle de Sébastien, en italien, et celle d’Aziz qui dit un poème d’Abdelatif Laâbi, en arabe, un poème d’amour. Mélina lit des fragments de Marilyn Monroe, Nourdine nous parle de l’espoir et Laurent du désespoir. Fatima est là pour nous dire que rien n’est perdu. Patrice s’adresse au premier ministre dans une lettre où il est question de tracteurs, de Vladimir Poutine et d’armes bactériologiques. Frédéric chante les anges qui aiment la musique. Marine lit un texte à propos de l’Amour fou de Jacques Rivette. Muriel aime Janis Joplin depuis ses 17 ans, Nicolas Philibert était venu la filmer chez elle écoutant ce disque, elle ne sait pas si ce sera dans le film… De l’amour et de l’espoir encore avec David qui nous parle de sa famille. Rachel lit « À la fenêtre » de Robert Walser. Avec Adamo qui chante Ensemble, Narcisso Yepes à la guitare et Guillaume au ukulélé, Mélina à l’orgue (et Jérôme aussi). Comme d’habitude, rien n’était prévu …nous ne savions pas où nous allions et pourtant nous sommes arrivés à bon port.