Avide de grands espaces, dans la lignée de mes ancêtres explorateurs, j’ai choisi à 30 ans de m’exiler en Angola. Polyglotte et aventurier dans l’âme je suis devenu traducteur pour les chemins de fer de Benguela et j’y ai rencontré mon ami et poète Alexandre Dáskalos. Voici une tranche de ma vie…
interview Bruno Voillot
Crédits photo, Joao de Carvalho