Une chronique des croisières placée sous le signe de l’éternel retour de la madeleine de la recherche du temps perdu avec la reprise de Frédéric qui a lu l’Ève future, la famille selon Patrice qui n’aime pas Proust, un poème comme seule Mélina en a le secret, un souvenir d’enfance de Jérôme, fidèle auditeur de notre mixture, le regard de Nourdine qui se demande jusqu’où peut-on aller par amour, on chante encore et Falstaff déraille, il y a Gladys, on nous dit « Veiller sur elle », retour de Balbec et son festival du cinéma romantique, le duo Deux,Alain et son médecin post punk des Basic Shapes, la Mouette de Carole , le crayon de Mohend qui court sur la table, une vague qui revient, une liste des sons qui n’existent pas, Sexy Sushi qui chante Rachida, Picasso est là et David s’intéresse aux rites chamaniques. Tout passe et repasse.
2 réflexions sur « chronique des croisières 39 »
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Jamais Jean Michel Jarre n’avait été aussi passionnant…
J’adore Proust et je déteste les bourgeois !
J’adore la poésie, les chansons, le stylo, les sons qui n’en font pas, les émotions et les paroles qui traversent, les présentations, les nouveaux qui cuisinent, les bords de mer en balade, les questionnements et les réponses, les silences du sable et les sourires dans les voix.
Merci beaucoup les Oueveurs et les Oueveuses. ( je suis en train de réaliser qu’écrit en créole – à peu près et désolée pour les puristes de cette langue – ce serait les rêveurs et les rêveuses ).
Je ne sais si c’est vous ou nous qui rêvons le plus…