Jouer à cache cache avec les forces de l’ordre dans les bois et » poser un son » dans les champs pour danser comme on veut, comme des fous, pendant des heures et des heures sous le soleil et la pluie. Free party. Sound system sauvage. Des Spiral Tribe à Jules Dassin il n’y a qu’un pas, c’est « Jamais le dimanche ». Et puis il y a les cauchemars des nuits vandales! Lointains souvenirs de cette vie, il regarde la musique en bleu ciel et se fiche pas mal des Stones! Lui ne demande qu’un peu d’attention, une invitation, pourquoi pas un chapeau ? Ou bien un livre épais et pas cher, ou un autre consacré à Jules et Jo Dassin, père et fils, à la fille de Nicolas de Staël ? Une version très très très très courte des choses très très très très longues de la vie.
2 réflexions sur « chronique des croisières 38 »
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L’éclectisme était de rigueur pour cette 38ème ! J’adore le concept de free party avec des oiseaux !
Tout est écrit jusqu’à ce jour, tout n’est pas encore dit . Merci à la oueve pour ces fragments de poésie qui continuent.