Prenez un dictateur, un lapin, un canard, une madeleine, mélangez bien, mettez y beaucoup d’amour, une pincée de solitude, quelques airs de guitare, le souvenir de Claudia Cardinale dans un train. Laissez reposer le temps d’une chanson ou deux ou trois… Incorporez des extraits de cinéma, allez y franchement, encore un peu de guitare, « quelques » touches d’orgue Hammond. Et puis bien sûr la mélopée de Laurent. Saupoudrez enfin de quelques commentaires du spectacle « La fille polaire » de Camille Feist. Avec Alexander à la manoeuvre, tout en souplesse.
Une réflexion sur « chronique des croisières 47 »
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Je remercie tous ceux que j’ai eu la chance de rencontrer à Paris.C’était une expérience inoubliable.À Moscou, ils écoutent maintenant cette radio.