Suite et fin de Verlaine et moi où Laurent et Frédéric évoquent les relations tumultueuses de Paul et Arthur.crédits
crédits : Dessins de Florian et Guillaume
Suite et fin de Verlaine et moi où Laurent et Frédéric évoquent les relations tumultueuses de Paul et Arthur.crédits
crédits : Dessins de Florian et Guillaume
Laurent écrit des poèmes quotidiennement depuis des années, poèmes publiés dans le journal « Les Beaux Barres ». Il nous raconte ici comment la figure de Verlaine, son « copain d’infortune » l’accompagne, le soutient chaque jour.
1ère partie
crédits : Dessins Florient et Bruno
(2nde partie)
On sort de l’adolescence. Patrick se retrouve vers Bordeaux, service militaire dans la marine et puis travaille à l’usine, reprend les études, essaye d’être enseignant. Si la musique est toujours là, la guitare n’y est plus, « les relations s’effilochent avec le monde extérieur ».
(1ère partie)
Patrick était adolescent au début des années 70, dans les hauteurs du Raincy en banlieue parisienne et il aimait la soul, le rhythm and blues qu’il écoutait avec ses copains dans la cave de l’immeuble. La traversée commence, Patrick parle de sa guitare, des influences musicales, de l’amour, de la « prolétarisation de son quotidien ».
Suite et fin de l’émission.
2nde partie de l’émission enregistrée à La Fonderie dans le cadre des Rencontres Encore Heureux 2021. Toujours en compagnie de Bruits de couloir, atelier « inter-GEM », circulant sur la Seine- Saint-Denis, qui se réunit à la Trame (Saint-Denis) et laoueve.com.
Partir, traverser des paysages, des frontières, des épreuves depuis Paris jusqu’au Cap en Afrique du Sud en passant par les Balkans, le Moyen Orient, l’Égypte puis l’Afrique de l’Est du nord au sud, tout ça à bord d’un mini Van. C’est ce qu’a accompli Luca il y a quelques années, parfois seul, souvent accompagné. Il nous raconte ce périple et son travail photographique.
Interview : Arnaud Vallet
Images & montage : Bruno Voillot
Ce matin dans la boîte aux lettres, il y avait un colis. Un livre, quelques dessins, des comics strips envoyés par Natacha Guiller, artiste protéiforme qui nous raconte dans ce podcast comment son travail lui permet de vivre, de tenir à distance la mort.
Bonne écoute
https://podcast.ausha.co/les-garde-fous/natacha-j-essaye-de-recuperer-le-temps-qu-on-m-a-pris
« Accueillir un animal chez soi peut être une fête. À l’heure où les associations de protection animale tentent d’empêcher le commerce d’animaux domestiques dans les animaleries et où le gouvernement réfléchit à un permis d’adopter, je me souviens que j’ai pu regretter de ne pas avoir eu une formation en plus de toutes mes lectures dans le domaine même si les vétérinaires aussi craignent les coups de griffes. »
Isabelle a longtemps hésité avant d’accueillir des chats chez elle, était -ce une contrainte supplémentaire ou bien une compagnie réconfortante? Une contrainte thérapeutique? That is the question.
Peut-être le début d’une chronique…
3ème partie
Où il est question du personnel soignant et du discours de l’établissement.