Archives de catégorie : témoignage

chronique des croisières 53

Dans cette Chronique des croisières, il est question d’une naissance, celle du club, c’est l’occasion de revisiter la question sensible des origines et des fondateurs… une fiction de plus chaque année quand arrive l’Assemblée Générale. À ce propos, à qui attribuer ce chant traditionnel hébraïque? Charles Aznavour, Bob Azzam, Les Compagnons de la Chanson? S’agit-il de musique klezmer? Vous entendrez également une évocation de la survivance et peut-être par association d’idées une discussion à propos de la solidarité. Les origines, le club, Bob Dylan, le fondateurs, la solidarité, klezmer, des histoires plus que l’Histoire.

chronique des croisières 52

C’est le retour de la chronique des croisières, la 52ème du nom. Une chronique placée sous le signe de l’étrange avec des pianos désaccordés, une platine capricieuse, des textes ciselés, des chansons K7,un trombone, Nana Mouskouri au ralenti, des musiques du Moyen Âge et une question métaphysique, existentielle : à quoi engage d’être un créateur? Des nouvelles du club L’Embarcadère avec la création d’un site web, des échanges soutenus en fond de court et Schubert revisité. Tapis dans ce maelström sonores quelques rêves avec Jean Oury et une histoire de piscine municipale… et un OSNI, « c’est quand il pleut que l’on fait les meilleures nuits ». Avec Jérôme au micro pour orchestrer tout ça, bravo!

chronique des croisières 43

Une 43ème chronique des croisières sous le signe du Cantique des cantiques avec Mélina, érotisme, philosophie, théologie, poésie, histoire, à vous de choisir… Mamadi est de la partie, il a des choses à dire : son père, la reine de Saba etc… Marie continue sa traversée de la Recherche du temps perdu dans les méandres de la mémoire, Rachel a écrit un texte : Intermède en gros mots. Laurent retrouve de la voix pour nous conter la complainte du Marcheur funèbre. Nourdine est là aussi avec le Bonheur. De la musique encore et une machine à écrire pour nous accompagner.

chronique des croisières 41

Dans cette chronique des croisières, vous pourrez entendre Patrice nous parler « Du temps de l’amour de la radio », Mélina dire Emily Dickinson, en vo en vf, Fatima nous conseiller de regarder « Je ne suis pas un chinetoque » et lire Djamila Ribeiro, Dario Moreno chanter « Seul ». Vous pourrez entendre aussi Nourdine à propos de l’Absence, Frédéric qui veut de l’écho sur le disque bleu, le duo « les Pan Cakes » reprendre le titre « De mùsica ligera ». Mohend a dessiné un zombie sur un carton : on peut y voir Frankenstein ou Freud glabre ou un paysan combien, ce qu’on veut… L’ Adamant Sound System est là aussi avec Mélina qui chante « Hey baby! », c’est vraiment bien! Rachel aimerait que le temps ralentisse, que la vie ne soit pas une course chronométrée. Caroline aime les cauchemars, les réveils n’en sont que plus savoureux. Philippe nous recommande deux pièces de théâtre et Mamadi nous parle du destin tragique de son grand-père. Et puis Charles Baudelaire avec Mélina et Guillaume, accompagnés par Terry Riley, « In C ». Et une annonce surprise…

chronique des croisières 39

dessin : NOURDINE

Une chronique des croisières placée sous le signe de l’éternel retour de la madeleine de la recherche du temps perdu avec la reprise de Frédéric qui a lu l’Ève future, la famille selon Patrice qui n’aime pas Proust, un poème comme seule Mélina en a le secret, un souvenir d’enfance de Jérôme, fidèle auditeur de notre mixture, le regard de Nourdine qui se demande jusqu’où peut-on aller par amour, on chante encore et Falstaff déraille, il y a Gladys, on nous dit « Veiller sur elle », retour de Balbec et son festival du cinéma romantique, le duo Deux,Alain et son médecin post punk des Basic Shapes, la Mouette de Carole , le crayon de Mohend qui court sur la table, une vague qui revient, une liste des sons qui n’existent pas, Sexy Sushi qui chante Rachida, Picasso est là et David s’intéresse aux rites chamaniques. Tout passe et repasse.

chronique des croisières 38

Jouer à cache cache avec les forces de l’ordre dans les bois et » poser un son » dans les champs pour danser comme on veut, comme des fous, pendant des heures et des heures sous le soleil et la pluie. Free party. Sound system sauvage. Des Spiral Tribe à Jules Dassin il n’y a qu’un pas, c’est « Jamais le dimanche ». Et puis il y a les cauchemars des nuits vandales! Lointains souvenirs de cette vie, il regarde la musique en bleu ciel et se fiche pas mal des Stones! Lui ne demande qu’un peu d’attention, une invitation, pourquoi pas un chapeau ? Ou bien un livre épais et pas cher, ou un autre consacré à Jules et Jo Dassin, père et fils, à la fille de Nicolas de Staël ? Une version très très très très courte des choses très très très très longues de la vie.

chronique des croisières 36

Dans cette chronique de décembre, on n’entend pas le velouté de carottes ni le poulet citron olives que nous avons cuisiné ensemble le matin. On entend François de Roubaix et Frédéric qui chante. On entend le son du cornet et de la basse. On entend la langue de Robert Walser, Welt (Monde) et Brausen ( Souffle). On entend Mon Pote Le Gitan. On entend une histoire de sorcières et une autre de voleuse compulsive façon Hitchcock. On entend l’accord, une manière de se glisser dans le rythme.

chronique des croisières 30

Une chronique des croisières spéciale « Plantes » avec Daniel qui nous raconte son amour des plantes et son travail de jardinier à Paris. Daniel prend soin quotidiennement des plantes de l’Adamant, il ne supporte pas qu’on puisse les maltraiter, ça le rend triste, ça peut le mettre en colère, « les mémés » du square Blomet s’en souviennent peut-être encore… Daniel aurait pu être le monsieur Moustache de « TIstou et les pouces verts » dont Marie nous donne un aperçu, le tout en musique avec des chants d’oiseaux et Jean Sablon, dans la vie faut pas s’en faire!

spéciale dédicace à Fatima, Mireille et Alain.

chronique des croisières 28

Une 28ème chronique des croisières qui arrive avec quelque retard… Nous étions très nombreux lundi dernier, beaucoup de prises de parole avec hélas un câble de micro défectueux, ceci expliquant un son qu’on dirait sorti tout droit du répondeur téléphonique de Là bas si j’y suis, émission chère à David, certaines interventions n’ont hélas pas pu être gardées au montage. Damien, il faudra refaire la chronique de l’ovalie, désolé Tanguy pour votre souvenir de l’émission Jazz à FIP du dimanche soir en voiture… Toutes nos excuses. Pour autant, vous pourrez entendre ici un texte de Patrice qui nous parle de l’indifférence des passants devant ceux qui vivent dans la rue, une lecture de Babar par Hanna suivie d’une réflexion quant à l’influence de celui-ci sur Jim Morrison, une intervention quasi phénoménologique de Rachel qui se demande quel impact peut bien avoir la parole, Muriel est venue nous parler de l’importance de l’amitié, Carole nous présente quelques vinyles piochés au hasard (?) dans les bacs de l’Adamant et Caroline reprend Adamo!