C’est une histoire d’amour fou chantée par Mélina, ça se passe quelque part en Italie, « Coco Citron ». C’est une histoire, on ne sait pas laquelle, c’est plutôt le prélude d’une histoire chantée par Laurent. C’est l’histoire d’une chanson, de l’enregistrement d’une chanson par l’Adamant Sound System, « Wherever you are ». C’est l’histoire d’une rencontre dans des ateliers où on commence à « se connaitre dans un certain type d’ambiance ». C’est encore l’Italie, Naples, Florence, Rome et caetera. C’est une histoire de temps qui passe, une histoire d’amour et une reprise d’Iron Maiden « Wasted years » avec Alex. C’est aussi une histoire de rupture, « Je me romps tout seul » dit Jérôme, superbe! Ça pourrait être une histoire à la Jules les Églises… C’était un lendemain d’élections.
Archives de catégorie : politique
chronique des croisières 49
Bientôt la 50ème, et oui….et toujours pas de nouvelles de la 46ème chronique! En attendant la prochaine et celle qui s’est perdue, une chanson de Laurent accompagné à la guitare par Alexander, « Quel que soit le jour, quelle que soit la nuit », un texte de Patrice à propos des Jeux Olympiques. Encore une chanson avec Alexander, en espagnol et en français et en anglais et et et et…. I’m a weirdo. Il y a du PFAS dans les cordes! On retrouve Proust avec Marie qui a choisi 2 extraits a priori sans rapport et pourtant… Que se passe-t-il lorsqu’on devient un personnage, pour les autres et pour soi-même? Les pommiers en fleurs de Balbec, une journée de printemps. Le temps qui passe, le temps qu’il fait. Plus loin, une chanson remixée de Mamadi, a capella, géniale. Ça parle d’ « un réveil gracieux ». 2 OSNI de Jérôme bientôt au Chair de Poule. Rachel qui chante, on croirait entendre Robert Wyatt et Christophe réunis, extraordinaire. Guillaume à la platine avec ses 45t, où va-t-il chercher ça?
chronique des croisières 47
Prenez un dictateur, un lapin, un canard, une madeleine, mélangez bien, mettez y beaucoup d’amour, une pincée de solitude, quelques airs de guitare, le souvenir de Claudia Cardinale dans un train. Laissez reposer le temps d’une chanson ou deux ou trois… Incorporez des extraits de cinéma, allez y franchement, encore un peu de guitare, « quelques » touches d’orgue Hammond. Et puis bien sûr la mélopée de Laurent. Saupoudrez enfin de quelques commentaires du spectacle « La fille polaire » de Camille Feist. Avec Alexander à la manoeuvre, tout en souplesse.