C’est un lieu de passage, avec des portes qui s’ouvrent et se ferment sans arrêt, des bruits de clefs, on traîne des sacs, quelqu’un passe la serpillère, un autre divague, au loin une voix qui grésille, une radio qui hurle en trombe, des bonjours discrets. Un couloir d’hôpital psychiatrique. Avec un piano. Ivan aime jouer, Bach, Scriabine, des airs populaires russes… Bonne écoute.
Une réflexion sur « Pour Elena et Valentin »
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Un plaisir que de découvrir cette mélodie russe entrecoupée des bruits incessants de serrure.
Une véritable expérience d’écoute !
Merci Ivan.