2 réflexions sur « Schmurtz »

  1. Petit bonsoir (aïe 1H35) : génial la scène sur le fumer trop: après tout : en déprime ou maladie nerveuse n’y a-t-il pas un vertige ou une séduction de type certes névrotique mais plus ou moins « acceptée », « entérinée » par le malade ne s’en rendant pas toujours compte mais ainsi vont les années : une vie de clopes n’équivaut-elle pas une errance dans l’abandon de soi ?
    bien à vous, rien que cette heure tardive pourtant justifiée, illustre un aspect obscur de notre mal sur ce bateau : les recoins de l’inconscient que nous avons du mal à contrôler.
    responsables ? coupables ? innocents ? le tout je crois et surtout le dernier.

  2. Il est mi-
    Nuit.
    Paris s eveille.
    Apres le survol de votre sketch hilarant je decide de penser a autre chose.
    Or impossible.
    « Et dire quil faudra mourir un jour !  » Fais je a regret.
    Cest con la vie !
    Alors mourir pour mourir mieux vaut decider d etre heureux pendant la course au bonheur qui peut etre realiste et sans far si
    l on accepte les « inconveniences  » comme disent les anglais.
    Savoir etre heureux, du moins y consentir apres moult fracas cest etre pret dans les moments de deprime a etre heureux de pas grand chose. Si tout de meme, un toit et manger a sa faim et pouvoir combler les plaisirs simples du quotidien a reconquerir. Mais attention « rever Oui, de plus, si l on peut « ….sans oublier sa propre personne : etre heureux pour soi enfin et rien d autre.
    Avoir envie de…..le seul remede que dautres albatros perfides ont raye de leur vocabulaire….. »souffrir, souffrir, souffrir ! »
    Le mal du siecle : vouloir souffrir. …pourquoi ? Parce quil le faut. Il faut bien souffrir pour quelque chose. …diront ils en eux memes, pour que la vie ait un sens….
    Amis sos psys, nous allons vers des jours ou vous devrez guerir non plus des gens a la quete du bonheur, mais des personnes
    S etant jure de souffrir….question conception du bonheur a reformuler…..comment ?
    « Avoir envie de….. »
    Car il faudra bien qu ils renoncent a etre malheureux.
    Nature humaine oblige.
    Il est 1h50. Bye les tourterelles et alligators imaginaires….la vie est la.
    « Et dire quil faudra mourir un jour ! »
    Allez encore un verre de gin tonic, et hop j echappe au temps, et le temps m emmene dans un nuage de fumee, comme dans un reve.
    Car la vie est un reve ponctue de realites tenaces et coriaces, comme ma chatte montant sur mon lit, semant la zizanie.
    Et moi de crier : « tu me fous la paix petite conne ! »
    Est ce grave, triste ?
    Non.
    G gagne cette petite bataille a la CHASSE DU BONHEUR PAPILLON….!

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