Archives de catégorie : journal

les Beaux Barres

dessin Guillaume

Les Beaux Barres c’est fini. On leur prête notre voix pour faire entendre quelques textes parus dans cet ultime numéro. Avec les voix de Françoise, Pascale, Anna, Guillaume, Philippe, Arnaud, Witold et Bruno. Si l’envie vous prend de dire un texte, même d’un ancien numéro des Beaux Barres, venez nous voir le lundi après-midi à 14h30.

Percussions : Alexis

dessin : Natacha

Exercices de translation, épisode 5 (suite et fin)

Suite et fin de l’entretien d’Ivan. Où il est toujours question d’Helena Vladimirovna, la grand-mère paternelle. Une personne discrète voire secrète qui aimait s’occuper des autres, « un peu comme Stan » nous dit Ivan. Cultiver sa mémoire comme elle cultivait les roses.

Merci à Céline dont on entend le bruissement du crayon sur le papier pour sa disponibilité.

Exercices de translation, épisode 4


Nous retrouvons Ivan, cette fois ci dans la bibliothèque de l’Adamant, sur la Seine, non pas pour poursuivre le travail de traduction engagé mais pour évoquer le souvenir de sa grand-mère maternelle, Helena Vladimirovna, femme d’ambassadeur russe, elle-même d’origine polonaise. Une femme « autonome à sa manière », grande lectrice, affectueuse, discrète mais ferme, qui aimait s’occuper des plantes du jardin de la datcha. Une femme qui a voyagé entre la France, le Laos, le Tchad, le Portugal, Vienne, le Mozambique…


Et tout et tout

Le journal du CATTP du secteur de psychiatrie adulte d’Asnières-sur-Seine, un canard confiné qui permet le déconfinement psychique.
 Et Tout et Tout est un journal réalisé par un collectif de soins, dans le but de montrer un visage plus humain de la psychiatrie et  d’humaniser la société en général.Ceci n’est pas de la psychiatrie, aurait dit Magritte.

 Par des articles divers et variés, on fait mieux connaitre les processus de déstigmatisationdes maladies de la psyché, des maths, des stigmates,des astigmates, des asticots et des abricots.On essaye d’attirer l’attention du lecteur sur les frontières entre normalité et anormalité. On parle d’art brut, de poèmes marginaux dans un style néo-surréaliste. L’ouverture d’espritest toujours la bienvenue.Le succès connu par le journal nous a permis de constituer une association (et de dormir sur nos deux oreilles) .
Si la psychiatre rit, c’est que c’est drôle !