Archives de catégorie : histoire

Grâce à elle

Durant plusieurs années, Patrice a entretenu une correspondance épistolaire avec quelqu’un qui a compté dans sa vie ; ce quelqu’un s’appelle Danièle Renardet, elle était psychologue. Elle l’a aidé d’une manière décisive. Et puis la correspondance s’est interrompue ; il tenait à lui dire de vive voix combien il lui était redevable. Une plongée dans l’archéologie du club. Grâce à elle, grâce à lui.

Le temps d’une traversée

Partir, traverser des paysages, des frontières, des épreuves depuis Paris jusqu’au Cap en Afrique du Sud en passant par les Balkans, le Moyen Orient, l’Égypte puis l’Afrique de l’Est du nord au sud, tout ça à bord d’un mini Van. C’est ce qu’a accompli Luca il y a quelques années, parfois seul, souvent accompagné. Il nous raconte ce périple et son travail photographique.

Interview : Arnaud Vallet

Images & montage : Bruno Voillot

Avoir un chat (ou pas) chez soi à Paris

Fitimiti et Vaillant
Crédits photo : Isabelle C.

« Accueillir un animal chez soi peut être une fête. À l’heure où les associations de protection animale tentent d’empêcher le commerce d’animaux domestiques dans les animaleries et où le gouvernement réfléchit à un permis d’adopter, je me souviens que j’ai pu regretter de ne pas avoir eu une formation en plus de toutes mes lectures dans le domaine même si les vétérinaires aussi craignent les coups de griffes. »

Isabelle a longtemps hésité avant d’accueillir des chats chez elle, était -ce une contrainte supplémentaire ou bien une compagnie réconfortante? Une contrainte thérapeutique? That is the question.

Peut-être le début d’une chronique…

Exercices de translation, épisode 5 (suite et fin)

Suite et fin de l’entretien d’Ivan. Où il est toujours question d’Helena Vladimirovna, la grand-mère paternelle. Une personne discrète voire secrète qui aimait s’occuper des autres, « un peu comme Stan » nous dit Ivan. Cultiver sa mémoire comme elle cultivait les roses.

Merci à Céline dont on entend le bruissement du crayon sur le papier pour sa disponibilité.

Exercices de translation, épisode 4


Nous retrouvons Ivan, cette fois ci dans la bibliothèque de l’Adamant, sur la Seine, non pas pour poursuivre le travail de traduction engagé mais pour évoquer le souvenir de sa grand-mère maternelle, Helena Vladimirovna, femme d’ambassadeur russe, elle-même d’origine polonaise. Une femme « autonome à sa manière », grande lectrice, affectueuse, discrète mais ferme, qui aimait s’occuper des plantes du jardin de la datcha. Une femme qui a voyagé entre la France, le Laos, le Tchad, le Portugal, Vienne, le Mozambique…