Une réflexion sur « why can’t I billoux ? (part1) »

  1. Au sujet de la mort de JIM MORRISON.
    Où la fin d’un artiste, ou la vie de bien d’autres ici-bas.
    L’artiste n’a pas pour vocation de plaire même s’il le veut éperdument.
    Il sait parfois se faire apprécier, admirer, en ces « jours de chance », mais son destin finit toujours par le ramener à la triste réalité, qu’il soulève dans ses écrits ou ses attitudes, qui le feront honnir par la médiocrité humaine.
    Que conclure ?
    Que « son écheveau », personne ne pourra le détruire….Personne, en cet instant, malgré l’appel téléphonique impromptu, d’une amie qualifiée honteusement, injustement, mais avec bonheur, de « disturbance »….ce bonheur : personne ne pourra le lui enlever.
    JIM a vécu son art avec passion. Le souvenir reste.
    Et il l’aura vécu intensément, laissant dans son sillage une marée d’eau salée aux senteurs des suavités défendues….
    Tout cela restant à définir par « l’humble » apprentie artiste…..écrivant ses « paroles », le mot « intensément », par exemple, et se prenant à pester, prête à péter un câble, pourquoi pas celui du téléphone (pas encore installé. Quant au portable, il fournit l’heure…..), ledit câble wifi (why ? where ? silly I know, but real and existing) relié à l’amie devenant par ses questions une survivance de cette même ….il y a des mots qu’il vaut mieux taire, au risque de déplaire :
    Et si l’amie va sur FB ?
    « J’ai rien fait ! Suis innocente ! Le docteur le dira. »
    Et l’artiste dans tout ça ?
    Elle attend. Comme certains disent / « que ça lui tombe tout chaud tout rôti ».
    Faut aller bouffer. Il est 20H11.
    C’était l’heure de la « ponte ».
    Diner, plus : au pieux.
    Si la self estime joyeuse permet la chose.
    A vous chers amis.

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