chronique des croisières 51

Ça commence avec une question, « Comment peut-on être dentiste? » Soigner la douleur, dans la douleur, « c’est sans danger » nous dit le dentiste du film Marathon Man. Et puis un message téléphonique avec la voix d’un enfant qui se pose des questions à propos de la mission Apollo VIII avant un autre message s’adressant aux habitants de la face cachée de la Lune. Un texte de Patrice, « Les Pontes ». Arrive alors une chanson d’amour, « For Ireland, I’ll not tell her name », une histoire d’exil et de retour. De l’amour encore avec Emily Dickinson lue par Mélina. Des chansons avec Laurent, superbe! Une autre chanson, « Errer sans fin », reprise de Ramblig Boy : « je te salue mon vieux copain, garde la joie d’errer sans fin ». Et enfin Mamadi qui chante la dureté de la vie, sa douleur. Amour et douleur.

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