
Suite de la discussion avec Noémi Lefebvre, Beckett revient dans la danse, quelqu’un parle du langage sans mots, de l’innommable ou de l’indicible (?). Lire un livre à voix haute, rendre les mots sonores, entendre la musicalité d’un texte.
Suite de la discussion avec Noémi Lefebvre, Beckett revient dans la danse, quelqu’un parle du langage sans mots, de l’innommable ou de l’indicible (?). Lire un livre à voix haute, rendre les mots sonores, entendre la musicalité d’un texte.
Noémi Lefebvre écrit des livres, le dernier se nomme « Parle » (suivi de Tais-toi) précédé dans le désordre de « L’autoportrait bleu », « L’enfance politique » ou encore « Poétique de l’emploi ». Elle était l’invité de Rhizome au mois d’avril dans le cadre du festival Hors Limite. Première partie où il est question du langage, de Lacan, Beckett, Bion est ses appareils à penser, de la reprise aussi et de la difficulté de se trouver une forme praticable, possible avec les autres, entre soi et le monde.
Olivier est un poète dit « voyant » ou encore « un voyou de la science », il a bien voulu se prêter au jeu de l’interview afin de nous raconter par quels chemins il en était venu à écrire de la poésie et selon quels procédés. Une rencontre en 3 temps où il est question de mathématiques, de théologie, du Moi qui grince et d’un « je souffre donc je suis ».
Les deux premières parties ont été enregistrées chez Olivier et la troisième sur l’Adamant.
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Natacha Guiller est une artiste protéiforme, elle est dessinatrice, poète, slameuse, entre autres, elle fait 1000 et une choses. Elle a la singularité d’être également médiatrice santé pair ; la psychiatrie elle en connaît un rayon, plusieurs même, c’est sur la base de cette expérience qu’elle intervient dans les hôpitaux. Une patiente soignante. Elle était l’invité de Rhizome au mois de janvier où un public nombreux était venu l’écouter, lui poser des questions, témoigner. Où il est question de son statut, son rôle et sa fonction, du potentiel soignant.
Merci à tous , notamment à ceux qui venaient de loin comme la Trame de Saint Denis
Et Humapsy
Sur le web:
http://essen-g.blogspot.com
http://natachaguiller.blogspot.com
Retour sur les Rencontres autour des pratiques brutes de la musique dans le cadre du Festival Sonic Protest 2021 qui se déroulaient à la Parole Errante, Montreuil. L’occasion d’accueillir dans le studio radio de la maison Armand Gatti, Frédéric et son magnéto K7 pour une interview. Tu crois arriver à Montreuil et tu te retrouves à San Francisco. Un « déjà vu »!
Avec Jean Baptiste, Julia et Bruno
(2nde partie, suite et fin)
Discussion après écoute de la première partie. Où il est question des pathologies du mouvement, d’une confusion entre enfermement et immobilité, du corps inarticulé et du mutisme, du confinement, de la danse des mots, du rythme… On entend à nouveau Jean Oury à propos du « passage » dans un entretien extrait du CD accompagnant le numéro 40 de la revue Chimères, « le bruit du temps ».
(4 ème et dernière partie)
Suite et fin de l’entretien avec Patrick. C’est « une histoire d’amour entre la guitare et ma tête » qui nécessite de trouver son rythme.
(3ème partie)
Où il est question des influences. Se faire sa place, se faire son propre style, devenir soi-même passe par les autres, par des rencontres amicales ou amoureuses, au risque parfois de s’y perdre…
1ère partie
Catherine nous parle du corps en mouvement. Toucher, partir, revenir, aller. Un geste de la main, un regard. Marcher c’est déjà danser dit-elle. À la fin du document on peut entendre Jean Oury à propos de la marche, entretien extrait du CD accompagnant le numéro 40 de la revue Chimères, « le bruit du temps ».
Suite et fin de Verlaine et moi où Laurent et Frédéric évoquent les relations tumultueuses de Paul et Arthur.crédits
crédits : Dessins de Florian et Guillaume